A nos chers disparus ! Là où la rue des Rigoles débouche sur la place des Grandes Rigoles, cet équilibriste signé Philippe Hérard n'aura pas passé le printemps. Victime d'une colle trop paresseuse où d'un passant trop imperméable à son étrange beauté ? Allez savoir !
Toujours est-il qu'il a abandonné sa micro-planète pour rejoindre les anges au paradis du street art. RIP !
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